[Jeu] Oquonie : La poésie des espaces finis
@jeuxvideo
geekomatick.com/2014/03/01/la-poesie-des-espaces-finis-oquonie/
Sonorités mécaniques de boite à musique, dédale de pièces connectées, isométrie 8bits sans doute nostalgique, Oquonie prend d’abord des airs des déjà-vu, déjà joué, comme approuvé/éprouvé par une génération de joueurs trentenaires ou quadra.
Si, si, souvenez-vous: Crafton & Xunk, Head Over Heels, ou, plus proche, plus connu, Cadaver, des titres qui, derrière leur représentation, reposaient sur un level design/puzzle qu’il fallait décrypter, déchiffrer avant de progresser, pas à pas, une salle à la fois.
Oquonie, c’est la même mécanique générale de révélation/puzzle. Plus esthétisante certes, mais la routine de découverte par l’échec, par la répétition, est ici à nouveau conviée. Pour ouvrir des portes, passer d’une salle, d’un monde à l’autre, l’avatar revêt de nouvelles formes, de nouvelles identités ( dinosaure, cochon, oiseau, etc) qui sont autant de clefs vers leurs propres univers. Mais, avant d’enfiler ces « masques », le joueur doit d’abord collecter trois icônes « à leur image» en « s’entretenant » avec les animaux/habitants de ce labyrinthe. L’affaire se complique puisque certains se terrent dans des « poches » d’univers. […]
Le site de Rekka Bell: kokorobot.ca